king in my city, ain't no debate now. let me wipe all the bullshit they all left on the side. ( @rilès ) -- @lonàn mcgrath.
« pas franchement envie d'parler avec toi. » en réalité, elle crache ça avec tellement d'amertume qu'elle en est étonnée. et pourtant, tout avait bien commencé, une simple tentative d'approche d'un mec un peu trop rond pour qu'elle puisse tenter quoi que ce soit, encore moins de trouver le courage de lever son p'tit popol qui risquait de manquer à l'appelle une fois qu'ils se retrouveraient à deux. pas très douée pour les appels de phares, arielle n'est pas le genre à foncer lorsqu'elle ne sent pas la personne face à elle. son regard malsain lui donnait toutes les raisons pour ne pas accepter cette séance de drague. malgré l'alcool ingurgité, elle sait rester raisonnable lorsque son instinct parle pour elle. mais une main sur le bas de son dos réussie à la plonger dans ses souvenirs lointains. sûrement par peur que tout ça ne s'reproduise, encore. « ne m'fait pas ça. j'veux pas! putain, casses toi merde, j'veux pas faire ça! j'veux... » ses yeux ouverts, laissant ruisseler ses larmes alors qu'un homme qu'elle considérait comme un "ami" s'introduisait en elle. la laissait à l'état d'une simple chose, d'un vide couille qui ne saurait lui déplaire à lui. prenant le grand soin de ne pas se protéger et de se lâcher en elle. de loin l'envie que ça se reproduise, elle le repousse violemment, faisant tonner le tabouret lorsqu'il s'allongea sur le sol. ses intentions étaient loin d'être bonnes. arielle, cette petite loin d'être prude et fermée au plaisir charnelle n'était pas non plus rendue à se considérer comme une poupée de chiffon. son poing resserré et posé sur la poitrine du gars qui dorénavant a le regard fou, elle cherche un point de repère, quelque chose ou quelqu'un pour qu'elle se sente à l'abris. le blond. la majorité d'eux sont plutôt cool. peut-être un peu baltringue sur les bords, espérons juste qu'elle ne se trompe pas. parce qu'il la regarde, il voit que quelque chose cloche. elle fonce. prend une chaise, la collerait presque à celle de cet homme. un sourire denté malgré son regard perdu et vitreux, elle pose sa main sur la cuisse de ce qu'elle va bientôt considérer comme son mec, main tremblante par ces souvenirs ressassés, coeur battant la chamade par cette foutue peur renouvelée. elle l'entend venir. gueuler. « bébé, j'te cherche partout depuis taleur, t'abuse. » son regard veut tout dire. elle a besoin d'aide. deviens son sauveur pour ce soir, deviens ce héros à ses yeux juste pour ce soir. « c'est ta meuf, ça? » qu'il gueule ce poivrot, les yeux en sang par sa consommation bien trop importante, le risque de régurgitation à son maximum, elle ne voulait clairement pas assister à ça. alors elle serre sa main sur la cuisse de son possible sauveur pour qu'il daigne de réagir. réagis. réagis bien, aide moi.
(c) calaveras.
Dernière édition par Arielle Alpin le Jeu 7 Mai - 1:25, édité 1 fois
Une fois n’est pas coutume, il est de sortie ce soir, Lonàn. Une dose dans le nez avant de partir et il est paré. L’esprit embrumé, il déambule dans les rues étroites et les allées. Foule les pavés de ses pieds. Jusqu’à atterrir devant un bar, où il se trouve être un habitué. Sans réfléchir davantage, il pousse les portes pour s’y engouffrer. A l’intérieur, la foule a déjà envahi l’espace confiné. Quelques tables sont libres ainsi que des tabourets autour du comptoir bondé. Un coup d’œil autour de lui et il constate qu’il y a de quoi s’occuper. Les nanas présentes sont, pour la plupart, plutôt jolies à regarder. Pour séduire Lonàn, pas besoin d’en avoir dans la tête, le physique avantageux, un joli visage et le sourire greffé sur les lèvres suffisent généralement à l’attirer. Il traverse l’assemblée et choisit une place où s’installer. Près du bar, au comptoir, pour pouvoir rapidement commander. Un verre de whisky finit par atterrir devant son nez.
La soirée peut commencer. Amenant son verre à ses lèvres, il se permet un petit tour d’horizon. Des brunes, des blondes, des rousses, il y a largement de quoi s'amuser. Jusqu’à ce qu’un bruit sourd ne vienne attirer son attention. Curieux, il pose ses prunelles azurées sur le spectacle qui est en train de se jouer. Serait-ce une altercation entre un homme et une femme ? Encore un gros lourd qui abuse de sa position ? Se connaissent-ils ? Les questions ne se dessinent pas réellement dans son esprit. A l’image de la brume qui y circule, elles s’évaporent rapidement. Les disputes de couple ou toute autre connerie de ce genre ne l’intéressent pas vraiment. Même si la demoiselle semble… Paniquée ? Dans tous les cas, elle l’a repéré et c’est vers lui qu’elle se dirige sans hésiter plus longtemps. Tout aussi vite, elle s’installe à ses côtés en se lançant dans une comédie digne des plus grands. Surpris, perplexe, Lonàn ne réagit pas vraiment. Il sent sa main sur sa cuisse mais ce qu’il capte surtout, c’est cette frayeur au fond de ses iris sombres. Cette demande d’aide silencieuse. Il n’est pas toujours vif d’esprit, le dealer, mais ce soir, il a compris le message. Et l’autre qui beugle déjà dans son dos. Lonàn pose sa main sur celle de la demoiselle un court instant, lui adresse un très bref sourire, avant de tourner la tête vers le poivrot. « Ça ? » Tout dans la provocation. Il se lève, lentement. Avance, doucement. Parce qu’il aime chercher la merde, McGrath. Il aime sentir monter l’adrénaline d’un potentiel combat à venir. Et surtout, il aime voir la crainte dans le regard de ses adversaires. « C’est comme ça que tu parles de MA nana ? » L’autre en face n’en mène pas large. Comme s’il rétrécissait à vue d’œil. Pathétique. Il bégaye quelques mots, baragouine dans une langue inconnue. C’est mal connaitre Lonàn que d’imaginer qu’il va s’arrêter là. D’un geste vif, il attrape l’alcoolique par le col et lui adresse son air le plus menaçant. Plus vrai que nature. « Tu t’approches encore d’elle, tu l’emmerdes encore et j'te démonte ta sale gueule d’enfoiré. Pigé ? » Pris au dépourvu, l’homme s’excuse distinctement et tente de se dégager mollement. « Hors de ma vue ou j't’éclate. » Qu’il lance en le repoussant violemment. Il ne vérifie pas où il tombe, ni s’il s’écrase sur qui que ce soit. Non, il préfère tourner les talons pour revenir vers sa copine de la soirée. Tout sourire, il reprend sa place et claque des doigts en l’air pour appeler le barman. « Et ben, j'savais pas que j’avais une jolie copine. Tu permets que ton mec te paye un verre du coup. » Ce n’est pas réellement une question puisque le barman est déjà là pour prendre la commande. Il laisse la demoiselle choisir et boit une gorgée de son verre. « C’était qui ce connard ? » Pas la peine d’y aller par quatre chemins, il emprunte toujours les raccourcis, Lonàn. Pas de détour, autant aller droit au but. Toujours.
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cette frayeur, ces souvenirs ressassés. c'était la première fois qu'un tel flashback lui claqua le visage si rapidement. elle se savait en danger dès l'instant où son regard à croisé celui de ce pauvre homme. et elle espérait de tout coeur que ce blond allait lui venir en aide. jouer la comédie et vaquer ensuite à ses occupations. mais qu'il la délivre de cet être sanguinaire. d'ailleurs, tout se passa très vite. le coeur lourd, elle ne pouvait s'empêcher de regarder ces hommes régler ces comptes, de les voir front à front, le palpitant s'emballant rien qu'à l'idée qu'un drame puisse se produire. pourtant, il en faut beaucoup à cette belle victime pour l'effrayer et la mettre dans cet état de transe qu'elle tente de dissimuler tant bien que mal. mais pour une raison qui lui échappe pour le moment, elle se sent en sécurité. le poivrot blêmit, tremble comme une feuille alors que la prestance de cet homme le ratatine. soulagée. elle souffle, dissimule rapidement un sourire au bord de ses lèvres pulpeuses alors qu'il retourne à sa place. « j'ignorais que mon mec était rocky. » elle s'autorise à rire, toute cette tension mise à l'épreuve lui fit perdre ses esprits. revenir à la réalité quelques secondes plus tard. serait-ce le débordement de testostérone ou l'appelle à l'alcool qui lui fit reprendre ses esprits, elle n'était pas certaine de la réponse. mais loin d'elle l'envie de refuser un verre proposé. « un double whisky. » qu'elle s'empresse à commander au serveur alors que son regard se repose une nouvelle fois, plus observateur qu'à la première.
un haussement d'épaules plus tard, elle ne saurait donner de réelles informations concernant ce qu'il venait de se passer. n'avait pas pour autant l'envie de se remémorer une nouvelle fois ce passé, elle se décide de balayer la question d'un geste de la main. « sûrement un gars en gros manque d'affection si tu vois c'que j'veux dire. autant j'peux me montrer naïve, autant là j'ai su voir que ses intentions étaient loin d'être bonnes. » les paupières entre-ouvertes, elle fixe sa précédente place. hors de question qu'un homme nuise à sa sortie, à sa soirée. surtout après s'être autoproclamée petite amie de son sauveur. « d'ailleurs, merci d'être rentré dans le jeu. j'pensais pas que t'allais te mesurer à lui. quoi qu'il aurait mérité ton poing dans la gueule. » ses iris croisent celui du serveur lorsqu'il rapporte le précieux à cette dame. un sourire. discret, presque imperceptible lorsqu'elle prend en main ce verre pour laisser glisser ce breuvage de feu dans sa bouche. comme un goût de renaissance, elle avait besoin de ce remontant. la langue effleurant ses lèvres pour ne rien perdre, elle croise le regard du blond. « tu bois souvent tout seul, comme ça? » question loin d'être prise comme un jugement puisqu'elle-même le faisait souvent. un peu trop d'ailleurs.
Jouer les chevaliers servants, sauver une demoiselle en détresse, aider la veuve et l’orphelin, ce n’est pas vraiment dans ses habitudes. Il n’a pas le profil type du héros. En réalité, Lonàn, c’est même tout l’inverse. Le type même de la mauvaise fréquentation. Celui qu’on suit sans se poser de question. Parce qu’il a l’air cool et sympa, c’est forcément un bon gars, n’est-ce pas ? D’apparence, peut-être. Au fond, c’est un aimant à problèmes qui n’a pas forcément conscience de tirer les gens vers le bas. Aider cette fille, en soit, il aurait pu s’en passer. Ce qui l’a poussé à se lever en revanche, c’est cette possibilité que les choses dégénèrent. L’adrénaline d’un potentiel combat à venir. L’art de provoquer et de chercher la merde, il adore ça. Il ne vit que pour ça. Et puis en passant, il a gagné une « copine », il ne va pas cracher dessus.
« Rocky, carrément ? » Et encore, elle ne l’a pas vu jouer de ses poings. Une belle victoire par Ko. Le verre accepté, aussitôt commandé, Lonàn boit une gorgée du sien en attendant qu’elle ne soit servie. A la pêche aux informations, il constate rapidement que le blaireau n’était qu’un simple poivrot parmi tant d’autres, comme il en pullule dans les bars et partout où l’alcool est en vente et en libre service. « Je vois le genre de gros lourd avec un bon coup dans le nez en plus de ça. » Le genre que Lonàn aime éclater par plaisir. Non pas qu’il soit le genre d’homme modèle dans ces circonstances. Mais malgré tout, en dépit de ses nombreux défauts et de sa réputation, il n’aime pas les crétins qui s’en prennent à plus faibles qu’eux. Aux femmes, notamment. Même si certaines d’entre elles valent bien mieux que certains hommes. Son bras droit au Fight Club, notamment. Femme à la forte tête capable de tenir tête à n’importe quel homme. Une femme admirable qu’il respecte plus qu’aucune autre. Et puis avouons-le, ces femmes malmenées pourraient être sa sœur, et ça, ça le rend fou. « J’ai failli, j’avoue. » Un léger rire s’échappe de ses lèvres. « Mais il tenait à peine debout. Je préfère me frotter à des adversaires qui en valent la peine. » Surtout qu’il aurait fallu l’évacuer, le piccolo. Appeler les pompiers ou pire, la flicaille.
Le verre de mademoiselle est servi et elle continue d’alimenter la conversation. « Pas toujours. Ça m’arrive de temps en temps. Mais comme tu peux le constater, ça dure jamais très longtemps. » Il y a toujours une nana qui vient lui tenir compagnie au bout d’un moment. Preuve en est encore ce soir. « Et toi, tu t'fais souvent alpaguer par des déchets ? T’as jamais, j’sais pas, cherché à t'défendre ? J’veux dire, un bon coup dans les couilles, ça règle tous les problèmes. Là ou dans le genou. Un bon coup de pied dans le genou, avec toute ta force, j’peux te garantir que le mec se relève pas. P’t-être même qu’il se relèvera jamais d'sa vie. » Ah les coups bas, il les connait sur le bout des doigts, Lonàn. Il est passé maître dans le domaine. « Y’a pas mal de petites astuces imparables, tu sais. » A-t-il envie de lui en montrer quelques unes ? Peut-être pas dans l’immédiat, mais pourquoi pas ?
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toutes ces émotions, arielle n'arrivait plus à les contrôler. ces cauchemars permanents, cette peur de devoir revivre cette nuit folle, la peur de se rendre encore prisonnière, poupée de chiffon. il est certain qu'avec son caractère, elle est loin d'être celle qui se laisse marcher sur les pieds. loin d'elle l'envie de se sentir utilisée, encore pire lorsqu'elle en est consciente mais qu'elle n'arrive pas à réagir. cet homme vers qui elle s'est dirigée est sa bouée, son seul coin de lumière, sa porte de sortie. jamais prétendue être une as de la bagarre, encore moins du self défense, la sirène n'a pas pensé à lui en coller une ou deux pour le faire redescendre sur terre. sûrement que son traumatisme encore bien présent dans son esprit l'ai embrouillé. et si elle pensait que cet homme allait fermer les yeux, qu'il allait lui dire de rebrousser chemin et de se démerder seule, elle fut bien heureuse de constater qu'il n'en était rien. qu'il agissait et même très bien. « en tout cas, t'étais à deux doigts de l'être. » n'avait pas froid aux yeux, n'hésitait pas à vouloir en venir aux mains pour quelque chose qui certes, pouvait être grave si la jeune femme n'avait pas prit l'initiative d'aller quémander de l'aide. ce nom pourrait lui coller à la peau, ce sourire qu'elle arbore la persuade.
cette position de la petite victime ne l'enchantait pas vraiment. montrer ses faiblesses, aussi minimes soient-elle ou encore pire, se rendre dans un embarras qu'elle ne peut réussir à gérer l'embêtait. évidemment, ce petit déchet était loin d'être une femme de combat, celle qui savait manier les points ou les déjouer. « mh, donc t'es un genre de boxeur ou un truc comme ça? un genre de professionnel du poing? » qu'elle s'amuse. sûrement intérieurement heureuse de ne pas avoir vu cela se produire sous ses yeux. pas que la vue du sang lui fasse tourner de l'oeil, elle pense avoir vue pire qu'un homme se faire tabasser sous ses yeux, pire que de voir des giclées de sang d'un inconnu sur le sol lorsque celui de sa mère gisait dans son salon. « même si pour le coup, j'suis pas certaine de savoir qui pourrait en valoir la peine de se faire péter les dents. »
les sourcils froncés, elle pouffe quelques secondes à la répartie du jeune homme. « ok, pas mal. tu chassais, donc? pas trop déçu d'être tombé sur ça? » qu'elle s'autoproclame en se désignant de la main. pas confiante pour un sous, elle tente de masquer cette facette par l'humour. quelque chose qu'elle ne sait manier avec dextérité mais qui, selon elle, pourrait faire l'affaire. « apparemment on attire ce que l'on est. j'pense que je dois pas valoir plus que ça pour tous les attirer. puis honnêtement, j'ai du me servir de mes poings deux ou trois fois dans ma vie. j'sais vraiment pas me battre et dans ce genre de situation, je t'avoue que j'pense pas forcément à les utiliser. » elle hausse les épaules. c'est certain que toute personne devrait pouvoir réussir à se défendre seule. déjà, personne ne devrait subir les envies inassouvies et déserts des hommes en manque de chaire fraîche. la pauvre l'a subit une fois, loin d'elle l'envie de se contraindre à le subir une autre. cependant, elle l'écoute. et se sent encore plus stupide qu'au début. c'est vrai qu'il est facile de se mettre dans l'idée d'agir une fois la vague passée. arielle ne devrait pas dépendre de qui que ce soit lorsque quelque chose de grave se produit. ses yeux baissés, elle regarde son verre, se sent bête. une nouvelle fois. mais elle se décide de le regarder une nouvelle fois, arquant un sourcil. « t'as l'air de bien t'y connaître. je peux peut-être m'exercer sur toi? » un léger rire s'échappe alors qu'elle s'abreuve de son précieux, laissant le temps à l'alcool de glisser le long de sa gorge. « pourquoi tu m'apprendrais pas? » serait-ce un air de défi sur son visage? l’inconscience de ses paroles, chose qu'elle ne tempère jamais. toujours plus loin, toujours plus haut.
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Une fois n’est pas coutume, il est de sortie ce soir, Lonàn. Une dose dans le nez avant de partir et il est paré. L’esprit embrumé, il déambule dans les rues étroites et les allées. Foule les pavés de ses pieds. Jusqu’à atterrir devant un bar, où il se trouve être un habitué. Sans réfléchir davantage, il pousse les portes pour s’y engouffrer. A l’intérieur, la foule a déjà envahi l’espace confiné. Quelques tables sont libres ainsi que des tabourets autour du comptoir bondé. Un coup d’œil autour de lui et il constate qu’il y a de quoi s’occuper. Les nanas présentes sont, pour la plupart, plutôt jolies à regarder. Pour séduire Lonàn, pas besoin d’en avoir dans la tête, le physique avantageux, un joli visage et le sourire greffé sur les lèvres suffisent généralement à l’attirer. Il traverse l’assemblée et choisit une place où s’installer. Près du bar, au comptoir, pour pouvoir rapidement commander. Un verre de whisky finit par atterrir devant son nez.
