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Erin Mulcahy ---------------------------- find or lose our souls
messages : 1004 points : 426 multicomptes : l'orgueil de sin. face + © : rooney mara + SOLSKEN, old money, yquem. âge : trente-ans. occupation : avec son accent emprunté, la bouseuse jouait les citadines dans une galerie d'art de brooklyn. désormais reléguée à faire tourner le manège des camés, digne fille à papa. statut civil : la pratique d'un sexe mondain lorsque l'intérêt s'y prête, avec ces gentils rats des villes. adresse : #41 live oak st., où elle se fait taupe et épie le flicard. sujets en cours : ☾
max (2) ♮ cahal ♮ theodore ♮ morgan (wi).
| Sujet: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 1:21 | | |
erin mulcahy -------------------------------- i would kill to make you feel | | |
IDENTITE / Modelée de toutes pièces par un amant de l'Eire, c'est donc Erin, fille du drapeau tricolore. On ne s'y trompe pas, Mulcahy l'accompagne. Fardeau plus que parure, ce sont des années d'héritage qui l'enserrent, la briment. AGE / C'est un peu décontenancée qu'elle balaie sa trentième année, depuis les actes manqués aux regrets amers, quelque chose fait défaut. Une vie trop peu vécue, poussières qu'elle n'a pas su saisir. ORIGINES/LIEU DE NAISSANCE / Enfant de la Lewisburg, elle aurait pu embrasser le multiculturalisme de la Louisiane, et s'y envoler. Pareille à un rossignol en cage, c'est un testament irlandais qu'on lui lègue pourtant. STATUT CIVIL / Si longtemps tenue en laisse par un discret contrat moral appelé paternité, elle reste muse immaculée. A vingt-quatre ans elle se laisse enfin aller aux insipides vas et viens d'un guignol Newyorkais. Ni lui ni les suivants ne sauront l'enchaîner. Elle est, après tout, déjà marquée du sigle Mulcahy. OCCUPATION / Crédule poupée gâtée, elle se voit artiste. Ses nouvelles fréquentations mondaines lui ouvrent les portes d'un monde où l'esthétisme est une nécessité, où l'on paie les autres pour leur beauté. Son père lui offre une galerie d'art, qu'elle tient à Brooklyn. ORIENTATION SEXUELLE / Le Bindo Altoviti de Raphaël, le désespéré de Gustave Courbet, le jeune homme de Botticelli. La lecture des hommes est semblable à celle des toiles. Leurs caresses, des frôlements de pinceaux. Les années Newyorkaises ne lui donnent le goût des femmes seulement pour leur esprit et non leur chair. GROUPE / Misunderstood. AVATAR / Rooney Mara. CREDITS / doom days.
— BORN TO DIE —☞ ASTRO ; 09.09.89. Vierge. La fausse ingénue avec ses airs de ne pas y toucher. Mélancolique fée ne sortant que sous des pluies de lune, on en rêverait. Les pieds sur Terre, cependant, dans son élément. Le trait de crayon, la ligne de vie, la vie tracée d'avance. Dieu qu'elle aimerait avoir été architecte de ses desseins. ☞ MUSIC ; Riverside, Agnes Obel. Swim with the current and float away. Dans un bain opaque, elle se noie. Disparaît. ☞ HAPPY ; La douceur des choses simples et belles, alors qu'elle parait engoncée dans des stratagèmes et normes stériles. Nageuse, naïade, c'est l'apogée dans les étangs cachés où l'eau glaciale la fait frissonner. Toute expérience sensorielle est appropriée à la délicatesse de son être. Tremblante de vie, avide du monde, curieuse malgré ses pas hésitants. ☞ DEMONS ; Secrets de famille, identité volée, l'inatteignable évaporation des ennuis. C'est comme si elle avait marché dans une mâchoire métallique. Ses efforts pour s'en défaire ne font qu'enfoncer les crocs un peu plus profonds dans le crème épiderme. La toile méticuleusement tissés des irlandais, les dossiers secrets d'un père accusé - assassin ? -, le souvenir d'une mère évadée, des faux-semblants qu'elle peine à discerner. Un creux, là, tout bas, dans le ventre. Là où les mensonges convoitent la vérité. ☞ PREJUDICES ; A force de jouer les princesses à l'arrière des vtc aux vitres teintées, elle a pris goût au confort de ce cocon doré. Difficile de s'arracher à la vie des autres, à la métropole et au monopole des goûts. Débarrassée d'un accent qui faisait sourire, elle se déguise en Gucci. Et sous son œil pointu d'artiste critique, elle s'adonne à cette activité mondaine qu'est le jugement des autres. Snob, pouffiasse, même, retombée bien bas lorsque reviennent les souvenirs d'une enfance à courir dans les baraques poussiéreuses de Louisiane.
[ TRAITS DE CARACTERE ]
Délaissant la Louisiane pour l'ambitieuse New York, à contre cœur. Et pourtant. Très vite vient cette nécessité de ne pas dénoter, et c'est dans cette recherche d'appartenance qu'Erin s'édifie. Morceau par morceau de cette vie inventée, elle observe, analyse, copie, se fait mime de ses pairs, reflet dans un miroir. Hésitante, jeune aussi, elle laisse derrière elle quelques faux pas, une voix qui se brise sur un mensonge dévoilé. Ne se reposant que pour reprendre son souffle - la frêle mésange prenant son envol -, elle enfile de nouveau son déguisement et réapparaît sur scène. Premiers pas d'une actrice dans le monde, parfaitement camouflée dans son habit de faux-semblants. La vérité est de plus en plus facile à éclipser, au sein de cette danse avec bobards et sincérité. L'imaginaire se développe, les réactions sont vives, le personnage de plus en plus travaillé. Erin va même jusqu'à se réinventer totalement, parfois, jouant d'alias et d'accents pour tromper les autres, et surtout sa peur.
Viscérale, cette angoisse. Presque innée, léguée par une mère en prenant la fuite, par l'ombre d'un père qui plane, aussi aimant que menaçant. Cette peur maladive des autres, du reste du monde, de ces silhouettes auquel elle ne peut pas faire confiance puisqu'on lui a appris à faire ainsi. Cette peur lancinante de s'attacher et de se faire attacher, une fois libérée des griffes passionnelles du paternel et de ce semblant bancal de famille. Cette peur rassurante, aussi, des nouvelles expériences malvenues, qui l'embaume de confort et d'éléments routiniers. Cette peur, finalement, de décevoir ces non-dits auxquels elle a répondu oui, ces impératifs et interdits. Accrochées à des paroles qui n'ont jamais été explicitées mais existent au fond de son âme et la rongent, lentement. Papa est loin mais la main de fer est sur sa nuque.
Et c'est donc tout naturellement qu'elle ne laisse personne entrer lorsqu'elle n'est pas en costume, refusant de faire éclater cette folle vérité. Born and raised in New York. Daddy works a lot. Oh God, I love those shoes. Yes that haircut suits you. Sans surprise, la conséquence de cette mascarade est une vilaine solitude qui la suit, depuis l'adolescence. Cette douloureuse mutilation qu'elle s'impose, de ne pouvoir partager ni réelle joie ni cuisante blessure. Des faux amis comme confidents, des problèmes futiles, une petite vie organisée sur le papier.
Les neurones s'emballent, s'exaltent. Seuls avec eux-mêmes, ils gueulent. Les rêveries débordent, les idées s'affolent. Pourtant si lucide dans ses activités, Erin se met à voguer au gré de ses passions silencieuses. Muette mais désireuse de partager ces sensations nouvelles, ce feu intérieur, elle trouve les couleurs d'une palette. Là naît l'artiste. A ce talent pour l'invention s'allie cet intarissable criticisme, envers elle-même et surtout les autres. Elle s'accorde le jugement dernier, les sourcils froncés. S'octroie la place principale sur le piédestal qu'elle s'édifie et règne, finalement, reine autoritaire d'un monde qu'elle s'est inventé. - ☆ yquem:
AGE - bientôt 25 ohlala. VILLE - bristol soon baby. FREQUENCE CONNEXION - tout le temps, no shame, not sorry. PERSONNAGE - scénario fœtus de maxou. MOT DE FIN - l'indécision est mon deuxième prénom, mais vous allez m'adorer quand même. - Code:
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<pris>rooney mara</pris> ◦ erin mulcahy
Dernière édition par Erin Mulcahy le Ven 15 Mai - 14:08, édité 18 fois |
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Erin Mulcahy ---------------------------- find or lose our souls
messages : 1004 points : 426 multicomptes : l'orgueil de sin. face + © : rooney mara + SOLSKEN, old money, yquem. âge : trente-ans. occupation : avec son accent emprunté, la bouseuse jouait les citadines dans une galerie d'art de brooklyn. désormais reléguée à faire tourner le manège des camés, digne fille à papa. statut civil : la pratique d'un sexe mondain lorsque l'intérêt s'y prête, avec ces gentils rats des villes. adresse : #41 live oak st., où elle se fait taupe et épie le flicard. sujets en cours : ☾
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| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 1:22 | | |
○ ○ I'm paralyzed, where are my feelings
1997, lewisburg, usa. Les trésors de la nuit, curieux interdits. Pour les atteindre, c'est une expédition planifiée, étudiée à la lumière d'une lampe torche en plastique. Clic clic. La voilà qui fonctionne. Et derrière sa lumière vacillante, un bipède alarmé, frêle silhouette contre les pierres, la petite fille qui court vers l'agitation nocturne. Au coin de la rue, là où elle a vu son père disparaître, cordes et cuivres brisent le mutisme d'une nuit avancée. La porte rouge, celle qu'il ne faut pas prendre, s'érige comme dernier rempart, portail des enfers. Le matou garde le Styx, balèze et bien trop grand pour apercevoir le rejeton, accroupi dans le caniveau. Elle sait, pour avoir fait ses devoirs, que l'entrée de service sera ouverte. Furtive, elle s'y glisse, et plonge dans la gueule du loup, du lion. L'avenir s'offre à elle, armé de hasard. C'est ainsi que son plan s'achève, à la ligne d'arrivée de ses courses crépusculaires illégales. La suite appelle à l'imagination, et c'est mue d'une avidité mordante qu'elle s'avance dans les entrailles du monstre. La petite fille à la recherche de son Papa. Il s'échappe le soir, pour aller travailler. De la paperasse, Maman disait. Bitch. Depuis que le mot lui est tombé dans l'oreille, elle en a fait l'étendard de sa mère. Traître à son sang, à son devoir. Adultère on dit. Catin, aussi. Bitch. Faisant de sa fille une moitié d'orpheline, de son mari un homme souillé, castré, elle s'est défilée, s'est enfuie dans l'obscurité. Désormais la maison est vide sous les éclats de Lune, et quand elle se réveille pour faire craquer sa charpente, c'est Erin qui détale, la petite lampe au bout des doigts, la terreur dans la gorge. D'escaliers en couloirs, de couloirs en épingles, la voix lui parvient. Rauque et rassurante, chaude d'alcool et d'ivresse, celle de son père. Elle pousse la dernière porte et la scène l'embrase. Les lèvres rouges de vin sont comme des plaies béantes. Des grimaces qui dévoilent des canines d'ogres. La fumée, comme les vapeurs d'un cauchemar. La lame du couteau, éventrant la table. Les cartes qu'on fait voler, funeste présage. Et la lancinante brûlure de la gifle. Plus que le geste, c'est l'intention qui l'estropie.
2003, lewisburg, usa. Un frêle équilibre se créé. Les ordres sont respectés à la lettre, si bien qu'aucune question ne sera de nouveau posée. L'une grandit, l'autre se meurtrit. Courbé sur son oeuvre secrète, le père s'adonne à satisfaire ses maîtres, presque aussi violé que leurs poulettes. Pour se faire pardonner les vices puérils de sa fille, il trime. Pour se faire pardonner les blessures qu'il lui a infligées, il la fait reine. Cette cage dorée qu'il lui construit, ornée d'offrandes qui lui ont coûté des morceaux d'âme. Chaque gramme de poudre synthétisé sous ses yeux est un battement qu'on lui arrache, elle seule pouvant réparer la mécanique cardiaque d'un de ses timide sourire. Devant le miroir, elle tient entre ses doigts fins un sein blanc et plat. Interdite devant sa modestie, envieuse des lourdes poitrines qu'elle a un jour aperçues, là-bas, derrière la porte rouge. Ce corps inconnu aux courbes prémonitoire d'un danger imminent. Cette silhouette qui réveille dans les yeux paternels une brillance nouvelle, une sorte de peur. Lorsqu'il entre dans la chambre et la voit, fine et nue, main sur le cœur, il se décide. Il ne l'abandonnera pas aux griffes de ces enflures. Encore six mois de Louisiane avant l'exil.
2005-2007, new york, usa. Une cancéreuse entre les lèvres, toute prétentieuse. La jeunesse crapote, personne ne sait réellement faire, mais c'est joli toute cette fumée lorsque personne ne joue au poker. C'est une nouvelle sorte de cabaret, un cirque à ciel ouvert où clowns fréquentes gymnastes et bêtes sauvages se font plus rares. On échange ragots et potins plus que poudres et butins, les chamailleries subsistent. Erin est la plus forte aux jeux de mains, particulièrement lorsqu'on la traite de paysanne. Comme pour appuyer son point, elle plante les crocs dans les avants-bras. Une nouvelle cigarette. Un nouveau lycée. Les gamins ont tous des sales gueules, la cuillère argentée encore dans le derrière. Erin est préparée, cette fois. Stratégiquement, elle a placé les cartes et rangé les canines. Ses ongles sont vernis de la bonne couleur. Les syllabes s'enchaînent à la manière posh newyorkaise. Elle a supplié - trop peu - son père de lui acheter une bagnole. On l'adore. S'enchaînent des histoires formidables qu'elle imagine et partage, 1001 nuits qui n'existent pas. Comment son père est un riche ambassadeur qu'elle voit peu. Comment sa mère est un mannequin connu dont elle préfère ne pas dévoiler l'identité. Comment, à douze ans, elle a été kidnappée par un prince orientale voulant l'utiliser comme égérie de son cabaret du désert. On se doute de la supercherie, mais elle est si bonne comédienne qu'elle fédère un public qu'elle appelle ses amis. Princesse du macadam, façade vide, sale menteuse.
2013, new york, usa. La vie s'étend, les jours sont le reflet des suivants. Le personnage s'affirme dans la répétitions des gestes quotidiens. Ce n'est plus tant une invention qu'une réalité. L'heure est aux futilités, aux histoires sans intérêts et aux histoires par intérêt. La scène artistique est un véritable bestiaire de charlatans, et c'est ainsi qu'elle trouve ça place, pantin parmi les pantins, une âme de plus dans la petite boutique des horreurs. Les bises claquent sur les joues. Le froufrou des tissus riches est rassurant. Les parfums racés tamponnent le cul des dames de leur signature. Erin choisit Chanel, Coco Noir. Grâce à son père, l'homme de sa vie, vraiment, ses rêves se construisent. Il finance l'ouverture de la galerie d'art, à Brooklyn. L'appartement, dans la rue d'à côté. Quelques diners mondains et sans le savoir, même la capote pour la première fois. Que ce soit par téléphone ou lors de visites impromptus, il est là, toujours. Trop familière avec cette présence perpétuelle pour s'en méfier, Erin s'en accommode. Un sourire, elle l'enlace. Au restaurant, elle lui parle de sa nouvelle exposition. Sous la table, accepte le chèque. Ne pose pas de questions. Jamais.
2019, lewisburg, usa. Et soudain, la déferlante. L'eau salée dans une plaie béante. Les viscères qui se tordent sur une blessure immatérielle. Rien n'a de sens au pays des réalités brisées. Des mots qui ne veulent rien dire, qui viennent crever une vie impeccable. Des mots qui n'entrent pas dans le vocabulaire, des mots sales, des mots qui font mal. Des mots qui l'empoignent, la traînent, l'enchaînent. Ces enflures vont poser des questions. Briser les interdits.
Agression. Fraude fiscale. Trafic de drogues. Homicide involontaire.
L'info est signée McGrath. Un temps elle se demande pourquoi la police n'a pas retrouvé sa trace. Pourquoi personne n'a voulu l'interroger. Si par hasard quelqu'un n'aurait pas nettoyé derrière elle. Sur l'autoroute, elle s'arrête pour gerber sur la bande d'arrêt d'urgence. Puis c'est le retour dans le Lewisburg sauvage. Quinze ans après, le panneau lui glace le sang.
On interroge, on triture, on torture, on piège, on fait mijoter, on est patient, on est le bad cop, on fait chialer, on tend un mouchoir, on torture, encore, et l'encre du stylo se vide sur un rapport à photocopier. On parle de saloperies et de salauds. On prétend connaître les choses qu'il a vécues. On mentionne le trafic d'humains, de femmes, de corps. Elle repense aux seins bombés, dans le cabaret. On dit que son père est un assassin, un savant fou qui distribue de la poudre que les gamins se mettent dans le nez pour crever. Et Erin, ça la fait marrer. Tout au fond du tribunal, dans l'ombre, elle croit à une blague.
Il en a des tares, son vieux père. Le jeu. L'alcool. Les femmes aussi, pour se venger de sa bitch de femme. Il travaille tard derrière la porte rouge où les regards sont interdits, mais il ne le cache pas, il gère les livraisons et les approvisionnements pour le red lion. De là à en faire un baron de la drogue, ça lui parait absurde. Les vendeurs de plaisir ont toujours été la tête de turc des flics, elle le sait. Ils cherchaient une excuse, une bonne raison de les faire tomber. Ils sont de mèche avec les autres loubards du coin, ceux qui attendent la tête des McGrath sur un plateau. Les pourris, son père gueulait. L'honneur aussi petit que la queue, il râlait. Elle l'aperçoit dans les yeux du poulet qui a fait l'arrestation. Cette fierté dégueulasse, la brillance du vice. Craven.
Elle s'apprête à passer la porte du commissariat. Digne, courageuse, fille à papa voulant prouver son innocence. Un coassement l'arrête. You could do so much better. Elle se souvient de l'avoir admiré en secret lorsqu'elle était gamine. Cahal. Huit ans à nouveau, et elle se jette encore dans la gueule du loup.
La sale race qui a balancé son père. Pour qui il a menti, frappé, blanchi, livré, ordonné. Qui ont envoyé une lettre anonyme à Mulcahy, derrière les barreaux. Une unique fois. We've got your girl. Shut the fuck up or we skin her.
Les choses qu'elle ignore.
Dernière édition par Erin Mulcahy le Mer 1 Avr - 19:41, édité 14 fois |
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Lonàn McGrath ---------------------------- lost sinner
messages : 1432 points : 468 multicomptes : Hazel + Ethan + Kiara face + © : Boyd Holbrook + martyr (Max ♥) âge : 37 (12 juin 1983) occupation : Vénéré par certains, adulé quand le manque se fait ressentir. Vendeur de poudre magique et autres bonbons colorés. Distributeur de bien-être et de légèreté. Il connait toutes les drogues du marché, gère un important réseau d'une main de maître. L'art et la manière de vendre du bonheur en sachet. La tentation est forte parfois, même pour lui. Et Lonàn n'est pas connu pour sa capacité à résister. Il gère également et organise des combats clandestins auxquels il participe régulièrement. L'adrénaline dans le sang, c'est ce qui le rend vivant statut civil : Electron libre que rien ne peut enchaîner. Eternel papillon qui butine de fleur en fleur sans se poser. Collectionneur invétéré de conquêtes passagères et éphémères. Appétit insatiable qu'il ne peut satisfaire adresse : mulberry avenue sujets en cours : Beatrix(FB) ✘ Ailish(FB) ✘ Dagmar(FB) ✘ Max ✘ Aodh ✘ Nina ✘ Helio ✘ McGrath ✘ Arielle ✘ Conway ✘ Hera(2) ✘ Dagmar ✘ Morgan ✘ Beatrix ✘ Lizzy ✘ Cahal / FULL
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 1:41 | | |
Oh là là GILLIAN, cette queen OMG Première fois que je la vois sur un forum et c'est un plaisir Quel choix excellent, vraiment Hâte d'en savoir plus ! Bienvenuuuue |
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Morgan McGrath ---------------------------- gods and monsters
messages : 1528 points : 510 multicomptes : dolores, la reine des enfers. face + © : hunnam, av(natsilane) âge : (trente-huit ans) brisure entrelacée derrière de fausses promesses balancées. occupation : (gérant du red lion) poids jeté sur ses épaules déjà épuisées. il contemple d'un regard inquiet, le désastre s'opérer. statut civil : (maudit) depuis longtemps, c'est pourri. depuis longtemps, il renie. les sentiments effacés pour ne plus jamais éprouver cette culpabilité. adresse : (mulberry av) une pièce simple et faite de sobriété dans l'arrière boutique du casino pour lequel il s'est damné. sujets en cours : mcgrath ; nina ; cahal ; arielle ; erin(wif) ; ailish ; hera(fb) ; lonàn ; kiara ; lizzy.
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 4:57 | | |
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Hera Moran ---------------------------- amanite phalloïde queen
messages : 660 points : 268 multicomptes : falco, reed & gali. face + © : katheryn winnick, jenesaispas (ava), calaveras (code), conway, true detective (gifs) âge : quarante-deux ans, l'âme souillée par trop d'épreuves. occupation : reine déchue de la mafia australienne, nage dans les cendres de ses pertes, guidée par l'espoir de retrouver son royaume. propriétaire de l'hôtel 'hera', empire du narcissisme, tour dorée qu'elle quitte à peine, entourée des siens et du vide. statut civil : veuve, n'a connu des hommes que leur cruauté et la manipulation. ne les approche aujourd'hui que pour les dépasser. le feu qui l'animait n'est plus qu'une fumée opaque, sale et étouffante. cultive la relation chaotique qu'elle entretient avec conway. adresse : hôtel luxueux et impersonnel qu'est l'hera. sujets en cours : moodboard - morgan (fb), conway (3), cahal, conway (fb), nina, ethan, dante, lonàn, clovis, kiara. (full)
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 6:27 | | |
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Erin Mulcahy ---------------------------- find or lose our souls
messages : 1004 points : 426 multicomptes : l'orgueil de sin. face + © : rooney mara + SOLSKEN, old money, yquem. âge : trente-ans. occupation : avec son accent emprunté, la bouseuse jouait les citadines dans une galerie d'art de brooklyn. désormais reléguée à faire tourner le manège des camés, digne fille à papa. statut civil : la pratique d'un sexe mondain lorsque l'intérêt s'y prête, avec ces gentils rats des villes. adresse : #41 live oak st., où elle se fait taupe et épie le flicard. sujets en cours : ☾
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| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 10:32 | | |
- Lonàn McGrath a écrit:
- Oh là là GILLIAN, cette queen OMG
Première fois que je la vois sur un forum et c'est un plaisir Quel choix excellent, vraiment Hâte d'en savoir plus ! Bienvenuuuue J'ai tourné en rond avec d'autres avatars pendant 10min jusqu'à me dire, mais non, enfin, c'est Gillian la vraie. Elle manque à la scène rpgique. Merci beaucoup en tous cas. - Morgan McGrath a écrit:
-
vas y j'ai pas les mots. trop de perfection. j'sais pas par où commencer. non mais WHAT sérieux ? entre l'avatar, le début de fiche. et l'tout en fait. ça démonte bienvenue et adopte moi stp Ohlalalala mais c'est parce que j'ai été trop impressionnée par vos plumes et vos personnages, cette bande de filous là je me suis dit qu'il fallait sortir le grand jeu. Contente que ça te plaise, et merci. (funny story, j'étais entrain de m'inscrire pour le rôle de nell quand le scénario m'est passé sous le nez ) - Hera Moran a écrit:
- une queen
merveilleux personnage qui se dessine comme on en voit trop peu bienvenue Merci beaucoup Hera, il est fort possible qu'on trouve un lien, entre commerçantes fantômes. |
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Max Craven ---------------------------- kings and queens
messages : 904 points : 412 multicomptes : syd berkowitz. face + © : joaquin phoenix, avatar (yquem, ma meuf <3), signat (beerus.) âge : 45 ans. occupation : flicard enragé aux griffes longues et aiguisées pour mieux les planter dans la carne des voyous. statut civil : fait fuir toutes celles qui s'approchent d'trop près. préfère les haïr plutôt que d'leur offrir l'plaisir d'le briser encore. sujets en cours : closed // lonàn ; nina ; cahal ; erin (2) ; magda
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 13:02 | | |
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Erin Mulcahy ---------------------------- find or lose our souls
messages : 1004 points : 426 multicomptes : l'orgueil de sin. face + © : rooney mara + SOLSKEN, old money, yquem. âge : trente-ans. occupation : avec son accent emprunté, la bouseuse jouait les citadines dans une galerie d'art de brooklyn. désormais reléguée à faire tourner le manège des camés, digne fille à papa. statut civil : la pratique d'un sexe mondain lorsque l'intérêt s'y prête, avec ces gentils rats des villes. adresse : #41 live oak st., où elle se fait taupe et épie le flicard. sujets en cours : ☾
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| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 14:17 | | |
@"Max Cravens" Tu t'attendais à trouver un cageot ? me voilà bon, après je me retiens tout juste de faire la groupie sur 15 lignes parce que joaquin en flic ça me donnerait presque envie de sortir ma tenue de rooney mara, tu vois. merci beaucoup, et au plaisir de se recroiser pour un lien |
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Max Craven ---------------------------- kings and queens
messages : 904 points : 412 multicomptes : syd berkowitz. face + © : joaquin phoenix, avatar (yquem, ma meuf <3), signat (beerus.) âge : 45 ans. occupation : flicard enragé aux griffes longues et aiguisées pour mieux les planter dans la carne des voyous. statut civil : fait fuir toutes celles qui s'approchent d'trop près. préfère les haïr plutôt que d'leur offrir l'plaisir d'le briser encore. sujets en cours : closed // lonàn ; nina ; cahal ; erin (2) ; magda
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 14:47 | | |
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Invité ---------------------------- Invité
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 16:18 | | |
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Erin Mulcahy ---------------------------- find or lose our souls
messages : 1004 points : 426 multicomptes : l'orgueil de sin. face + © : rooney mara + SOLSKEN, old money, yquem. âge : trente-ans. occupation : avec son accent emprunté, la bouseuse jouait les citadines dans une galerie d'art de brooklyn. désormais reléguée à faire tourner le manège des camés, digne fille à papa. statut civil : la pratique d'un sexe mondain lorsque l'intérêt s'y prête, avec ces gentils rats des villes. adresse : #41 live oak st., où elle se fait taupe et épie le flicard. sujets en cours : ☾
max (2) ♮ cahal ♮ theodore ♮ morgan (wi).
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mar 31 Mar - 16:52 | | |
@mickey blown quelle beauté ce montgomery, on en prendrait bien pour le dessert. un petit cours d'anatomie avec une vioc de 52 ans, ça ne le tenterait pas ? merci de ton petit message |
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Max Craven ---------------------------- kings and queens
messages : 904 points : 412 multicomptes : syd berkowitz. face + © : joaquin phoenix, avatar (yquem, ma meuf <3), signat (beerus.) âge : 45 ans. occupation : flicard enragé aux griffes longues et aiguisées pour mieux les planter dans la carne des voyous. statut civil : fait fuir toutes celles qui s'approchent d'trop près. préfère les haïr plutôt que d'leur offrir l'plaisir d'le briser encore. sujets en cours : closed // lonàn ; nina ; cahal ; erin (2) ; magda
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Cahal McGrath ---------------------------- corvidae mortem
messages : 788 points : 371 multicomptes : w. marshall & s. herrera. face + © : murphy, sarasvati. âge : quarante et une années à écourter celles que les autres se tuent à traîner. occupation : la justice pour bouclier, il défend des ordures aux crimes pourtant moins putrides que ceux qu'il garde bien cachés. statut civil : enchaîné à ses pulsions de pouvoir, mcgrath n'aime que son reflet. et lorsque la nuit tombe sur le royaume, les rétines chutent sur la blonde. adresse : mariners blvd. un manoir à l'image de son ego ; immense et fier. sujets en cours : nina(fb) ; nina(2) ; max ; mcgrath ; syd ; henry ; erin ; morgan ; ailish ; sin ; lonàn ; hera(2) ; evey
| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ Mer 1 Avr - 20:46 | | |
poualalalala, le bonheur que c'est d'te lire. j'ai tout adoré, du début jusqu'à la fin. j'ai plus qu'une chose à dire ; allez, vas faire la misère à tonton craven maintenant. t'es validé x1000 chaton. félicitations à toi, tu as réussi la difficile étape de la fiche de présentation. maintenant, le forum t'ouvre les bras et il te reste quelques étapes cruciales pour t'investir et faire partie, entièrement, de pride and prejudice. tu pourras, notamment, poster ta fiche de liens et te faire un tas d'amis si ce n'est pas déjà fait. tu peux également, poster un scénario ou encore une gamme large de pré liens. n'oublie pas que le forum se base sur un système de points et bon nombre d'animations que tu retrouveras par ici. le flood t'est entièrement ouvert même si on sait que tu connais déjà le chemin. surtout, n'oublies pas, le plus important c'est de s'amuser. bon jeu sur pride and prejudice. |
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| Sujet: Re: twist your arctic heart. ☆☆ | | |
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